La naturopathie…. incomprise et mal connue

Depuis que je parle de naturopathie, j’entends souvent des réflexions comme :

« A défaut de ne pas faire de bien, ça ne doit pas faire de mal » ; « C’est l’effet placébo » ; « C’est du charlatanisme » ;  « Ouais, enfin… ton truc de plantes là, ce n’est pas très scientifique » ; « Tu as des sources qui prouvent que ça marche ? », « Ah, si tu penses que les remèdes de grands-mères fonctionnent, tant mieux pour toi ! », « Tu sais, les médecins ont fait 8 ans d’études, ce n’est pas pour rien. Un naturopathe ne sert à rien »… et j’en passe et des meilleures !

Tout le monde y va de son commentaire et cela montre bien que, finalement, personne ne sait vraiment ce qu’est la naturopathie.

Alors déjà, pour commencer, on le répète : un naturopathe n’est pas et ne sera jamais un médecin (en France). Il n’a pas étudié la médecine. Il n’a pas non plus vocation à le remplacer, ni d’aller contre les traitements que ce dernier propose. Les deux approches sont totalement différentes MAIS complémentaires. 

 

Pour savoir en quoi consiste ou non la naturopathie, veuillez accéder aux articles suivants : La naturopathie, qu’est-ce que c’est exactement ?  et Qu’est-ce que n’est pas la naturopathie ?

 

La naturopathie, une histoire de plantes uniquement ? 

Si vous avez regardé l’ensemble des mes articles sur la naturopathie, vous aurez compris que la naturopathie ce n’est pas de la « médecine verte ». Ce n’est pas « Tu as mal ici ? Prends cette plante ou ce complément alimentaire là ! ».

Par ailleurs, les plantes (phytologie, aromatologie, phytoembryologie) ne sont qu’une technique du naturopathe parmi tant d’autres. Réduire la naturopathie à des plantes, c’est faire un raccourci un peu rapide.

 

 

Un regroupement de techniques

La naturopathie regroupe donc un ensemble de techniques. Une manière plus juste de se questionner serait donc de se demander si chaque technique est scientifiquement prouvée ; si chaque technique est du charlatanisme et si chaque technique fonctionne à cause d’un effet placébo.

Les 3 techniques majeures de la naturopathie sont :

  • l’alimentation,
  • l’activité physique
  • et, même s’il ne s’agit pas d’une technique à proprement parler : veiller à avoir une bonne hygiène psycho-émotionnelle et un sommeil de qualité.

Est-il réellement nécessaire de justifier l’intérêt de manger plus de fruits et de légumes que de plats ultra-transformés ? De justifier l’intérêt d’avoir un minimum d’activité physique ; de bien dormir ; de ne pas être ultra stressé et de prendre du temps pour soi, pour être au meilleur de sa forme ?

Au-delà des études scientifiques qui le démontrent, n’est-ce pas une question de bon sens ? Jusque-là, il est impossible de parler de charlatanisme, d’effet placébo ou d’idées contraires à la science.

Le naturopathe a également à sa disposition 7 autres techniques supplémentaires mais, effectivement, toutes ne bénéficient pas, ou pas encore, de preuves scientifiques justifiant leur efficacité.

Certaines parce qu’elles n’intéressent pas la science tout simplement, d’autres par qu’elles impliquent des notions inexplicables (ou du moins pas encore explicables) scientifiquement ou n’apportent pas le niveau de preuve suffisant ou d’autres encore, parce que le point de vue holistique n’est pas compatible avec une compréhension scientifique.

 

 

 Qu’entend-on par « science » ?

Le petit Robert définit la science de cette manière :

« La science : ensemble des travaux et des résultats des sciences ; connaissance exacte, universelle et vérifiable exprimée par les lois. »
 
La science attache une grande importance à réaliser des recherches dont les résultats sont universels et réplicables à grande échelle.
 
La naturopathie n’est pas du tout dans cette démarche. On pourrait même dire que c’est tout l’inverse, puisque l’intérêt de la naturopathie réside dans le fait qu’elle soit personnalisée aux besoins d’une personne, à un moment précis de sa vie et qu’elle prenne en compte la personne dans son ensemble. L’ambition de la naturopathie n’est pas d’avoir des protocoles réalisables à grande échelle, mais qui soient adaptés aux besoins et spécificités de chacun.
 
 

La vision holistique, incompatible avec la vision scientifique 

La vision holistique de la naturopathie n’est pas scientifique dans le sens où son approche est personnalisée et, par conséquent, n’est pas universelle.

La cause des problèmes en naturopathie est toujours multifactorielle et les solutions proposées n’ont d’intérêts que si elles sont personnalisées.

 

Par exemple, pour un mal de tête :

La science va proposer l’une ou l’autre molécule soigneusement sélectionnées après avoir passé un certain nombre de tests pour s’assurer que leur effet fonctionnaient à grande échelle.

La naturopathie va chercher la cause spécifique à la personne qui consulte : un problème de foie surchargé ? un problème de stress ? un mauvais sommeil ? un problème d’émotivité ou de tension émotionnelles refoulées ? un problème d’intolérance alimentaire?  une fatigue digestive ? une mauvaise posture? une mauvaise occlusion dentaire ? Un problème survenu suite à un événement précis ?…  Les causes ne sont pas exhaustives, mais sont suffisantes pour illustrer l’idée.

On comprend aisément que le naturopathe ne propose pas la même solution à une personne qui a mal à la tête à cause de tensions émotionnelles, qu’à une personne qui a une fatigue digestive ou un mauvais sommeil.

D’ailleurs, il continuera à investiguer pour peaufiner ses conseils : Pourquoi avez-vous des tensions émotionnelles ? Qu’est-ce qui vous perturbe ? Est-ce que cette tension est passagère ou dure-t-elle depuis longtemps ?… jusqu’à trouver la meilleure solution pour la personne concernée. La solution proposée ne sera donc absolument pas universelle, car entièrement personnalisée à l’histoire de vie et au besoin  de la personne.

 

En clair, ce n’est pas :

J’ai un problème → Voici la solution universelle.

C’est plutôt : 

J’ai un problème → Quelles sont les causes ? Quelles sont les causes des causes ?  ⇒ Voici les différentes solutions adaptées à vos besoins, vos moyens, vos possibilités, votre histoire de vie, etc. 

 

La naturopathie voit la personne comme un tout (vision holistique) qui est unique et, par conséquent, les conseils donnés tiennent compte de la réalité de la personne à un moment particulier de sa vie.

Ils ne sont donc pas réplicables à grande échelle, parce que ce qui marche pour une personne ne marche pas forcément pour une autre, mais également parce que les besoins et donc les conseils donnés à un instant T, ne seront plus les mêmes à un autre moment de la vie de la personne.

La naturopathie prend en compte l’aspect physique, physiologique, spirituel, psycho-émotionnel, l’âge, les croyances, l’éducation, les activités, le parcours de vie, etc., et l’environnement de la personne.

Le naturopathe sait pertinemment que tout cela joue sur le problème à un instant T, mais que le problème serait absent ou différent si les aspects cités précédemment venaient à changer.

Or, il est impossible d’étudier scientifiquement autant de critères ensemble, parce que personne n’a exactement la même éducation, le même parcours de vie, la même manière de penser et de vivre les évènements, le même environnement social ou géographique, la même manière de dormir, ou de se reposer, les mêmes passions, les mêmes émotions, etc. 

En un mot : chacun est unique et le but de la naturopathie est de s’adapter à chaque personne. Il n’y a aucun protocole tout prêt et qui pourrait convenir à tout le monde. En cela, la naturopathie n’est pas scientifique.

 

Une histoire de vocabulaire

Autre problème qui sert à décrédibiliser la naturopathie aux yeux du monde scientifique : le vocabulaire.

Malheureusement, bien que riche, la langue française est limitée en vocabulaire. La naturopathie et la médecine se partagent donc un certain nombre de mots, mais avec des connotations parfois totalement différentes, ce qui occasionne certains quiproquos en défaveur de la naturopathie. En effet, il est facile de traiter les naturopathes de charlatans dangereux, si lorsqu’ils parlent d’un sujet spécifique à la naturopathie, on imagine qu’ils traitent d’un sujet spécifique à la médecine.

 

L’exemple de la toxémie

Lorsqu’un naturopathe utilise le mot « toxémie », il parle de l’ensemble que forment les surcharges en toxines (endogènes) et en toxiques (exogènes).

Alors qu’en médecine on parle de toxémie gravidique (aujourd’hui appelée prééclampsie, une hypertension artérielle grave qui parvient au cours de la grossesse) ou alors on parle d’une présence de toxines ou de bactéries dans le sang. Ces deux cas nécessitent l’intervention et la surveillance par un docteur, ce qui n’est pas le cas avec la toxémie telle que la considère la naturopathie.

 

Un même mot. Deux notions totalement différentes. 

 

Autre exemple avec le mot « acidose ».

En médecine, cela signifie une baisse du pH sanguin, lorsque le pH du sang devient inférieur à 7,35. Cela peut avoir plusieurs causes (ingestion d’un composé acide: méthanol, surdosage en aspirine,.. ; diabète de type 1 mal équilibré, iléostomie ; etc. ) et provoquer différents symptômes (nausée, vomissements, accélération de la respiration, maux de tête, etc.). Une acidose en médecine nécessite une prise en charge assez rapide, qui sera différente en fonction de la cause (administration d’un antidote en cas d’empoisonnement ou d’intoxication ; injection d’insuline pour contrôler un diabète déséquilibré; etc.) 

En naturopathie, l’acidose ne fait pas référence à l’acidité du sang, mais à une acidification des tissus. Les causes sont différentes (stress, alimentation à tendance acidifiante, manque ou excès d’activité physique, mauvaise digestion… ) et les problématiques qui en découlent le sont aussi (douleurs articulaires, saignement des gencives, fatigue, transpiration acide, etc.) L’acidose telle que la conçoit la naturopathie n’est pas une urgence vitale, mais un problème auquel il faut tout de même prêter attention pour éviter que les problématiques qui en découlent empirent ou aboutissent à d’autres problèmes tels qu’une crise de goutte, des calculs rénaux, … La prise en charge sera également totalement différente et, en fonction de la cause, le naturopathe proposera des conseils sur la gestion du stress et de l’état émotionnel, sur la respiration, sur le sommeil, sur des exercices physiques adaptés et surtout il proposera des conseils alimentaires en fonction des éventuels déséquilibres observés.

 

Ce problème existe avec d’autres mots. Décrédibiliser la naturopathie en jouant avec le double sens des mots est très simple lorsque l’on est de mauvaise foi ou que l’on ne cherche pas à comprendre les différences que cela implique.

Ainsi, on est bien d’accord. Une toxémie ou une acidose telles que définies par la médecine ne trouveront jamais de solutions avec la naturopathie et personne n’a jamais prétendu le contraire : cela nécessite une prise en charge médicale. 

On ne le rappellera jamais assez : la naturopathie n’a aucune vocation à traiter les urgences. Sa raison d’exister est uniquement de modifier l’hygiène de vie et les comportements humains pour tendre vers une gestion optimale de notre corps, de notre esprit et de notre environnement. 

 

Autre problème de vocabulaire : une description poétique de la vie

La naturopathie utilise certaines notions qui sont abstraites d’un point de vue médical. Comme par exemple « la force vitale » , « la vitalité » ou « l’intelligence de la vie », cela ne signifie pas grand-chose d’un point de vue purement médical. Pourtant, il s’agit juste d’une manière un peu poétique de décrire des phénomènes courants. 

La force vitale, c’est grosso modo l’équivalent de notre « forme ». Si je dors mal, que je suis stressé(e), que je mange mal… ma force vitale (= ma forme) baisse. Si ma force vitale est basse, je suis plus sujet aux infections, je suis plus facilement malade, je suis plus facilement sur les nerfs, je suis plus facilement fatigué(e), etc. Et parfois, on entre dans un cercle vicieux qui nous fait rester en petite forme (force vitale basse). C’est pour cela que la notion de « vitalité » est chère aux naturopathe, puisque c’est sur cette base qu’il construira ses conseils d’hygiène de vie. 

« Les lois de la nature » ou « les lois de la vie » est un autre concept un peu poétique et abstrait. Pourtant, son implication dans la vie de tous les jours est simple et vérifiable : il s’agit des besoins essentiels.

L’Humain a besoin d’un certain nombre d’heures de sommeil pour bien fonctionner, il a besoin de boire de l’eau et d’avoir une alimentation avec des vitamines, des minéraux, des lipides, des glucides, des protéines… dans certaines proportions, il a besoin de stresser momentanément pour survivre, mais ne peut pas vivre dans de bonnes conditions avec un stress chronique, etc.

C’est comme cela que l’Homme a été créé, on ne peut pas le changer. Tout manquement à ses besoins entraînera, à plus ou moins long terme, une conséquence. Une simple déshydratation peut provoquer de la fatigue et réduire notre capacité physique, plus on se déshydrate et plus les conséquences de cette déshydratation s’amplifient. Classiquement, on ne peut pas tenir beaucoup plus de 3 jours sans boire. C’est la dure réalité de la vie, c’est : la loi de la vie, la loi de la nature. 

Cette « poésie » s’avère parfois nécessaire, car la naturopathie ne faisant pas partie du monde médical, elle n’a pas le droit d’employer un certain vocabulaire et doit donc trouver de nouvelle manière de désigner les choses. Dans un sens, cela n’est pas plus mal, puisque cela évite les erreurs d’interprétation comme citées plus haut, mais les notions sont parfois trop abstraites et ne permettent pas à la naturopathie de bénéficier du crédit scientifique auquel elle pourrait avoir droit.

 

Au final, est-ce une discipline scientifique ou non ? 

Il revient  au naturopathe de choisir les techniques qu’il préfère. Il est tout à fait possible de pratiquer une naturopathie 100% scientifique, d’un point de vue des techniques notamment.

Néanmoins, le naturopathe a dû faire le deuil qu’un jour la naturopathie, au sens large, soit considérée comme une discipline scientifique par la communauté scientifique, pour toutes les raisons évoquées précédemment, en particulier parce que la vision holistique est opposée à la vision scientifique universelle.

Toutefois, rappelons que l’O.M.S considère la naturopathie comme une « médecine douce » et bien qu’en France la pratique de la naturopathie fasse partie du domaine du bien-être, dans d’autres pays la médecine et la naturopathie se côtoient et se complémentent sans problème, pour une prise en charge encore meilleure des consultants. 

Au final, les détracteurs de la naturopathie peuvent considérer que cette discipline n’est pas scientifique si cela leur fait vraiment plaisir, mais il est impossible de dire que la naturopathie n’a pas de fondement, que c’est du charlatanisme ou que c’est juste une histoire de remèdes de grand-mère avec pour seul effet un effet placébo. 

Si un bout de papier est réellement nécessaire pour changer des croyances limitantes à propos de la naturopathie, il suffit de faire une expérience où les participants ne dorment que 3 heures par nuit, travaillent dans un environnement stressant 12h par jours et de n’ont pour seul repas des chips et du saucisson et du coca… Combien de temps tiendront-ils en forme physique et psychique? Est-ce qu’ils vont vivre longtemps comme cela? Est-ce que leur santé sera optimale ? 

Même si le vocabulaire de la naturopathie est trop poétique pour sembler scientifique, les « lois de la nature » nous ramènent à la réalité de notre fragile condition humaine, dans laquelle l’hygiène de vie (bien manger, bien dormir, bien bouger…) est primordiale pour avoir une santé optimale.

 

 

 

Un dernier mot

Pour en revenir aux plantes, elles offrent de nombreux bienfaits, certains scientifiquement prouvés, d’autres basés sur un usage populaire.

Toutefois, pour qu’elles aient l’effet escompté et qu’elles soient utilisées sans danger : il faut des connaissances.

Il faut savoir :

  • bien les choisir,
  • bien les doser,
  • sous quelle forme la plante est la plus indiquée, 
  • pourquoi on en choisit une plutôt qu’une autre
  • pourquoi, parfois, il faut faire des synergies et comment les faire,

Il faut également connaître la cause exacte de notre problème, pour ne pas passer à côté de la bonne solution. 

Si l’on achète une plante de mauvaise qualité, très peu dosée, bourrée de pesticides, accompagnée d’un fort dosage d’excipient inutiles, … et qu’en plus on n’a pas choisit la plante adaptée à notre problème parce qu’on pensait que le problème était notre tête, alors qu’en fait c’était notre foie… Il est certain que « les plantes, ça ne marche pas ».


Mais avant tout… il faut rester humble.

Les détracteurs de la naturopathie aiment répéter que les naturopathes sont des charlatans qui prétendent soigner des cancers avec des plantes.

NON. Un naturopathe digne de ce nom connaît les limites de sa pratique et des techniques qu’elle contient.

NON, la naturopathie ne prétend pas soigner un cancer avec des plantes. Par contre, les plantes et les champignons (mycothérapie) peuvent parfaitement soulager certains effets secondaires liés à la chimiothérapie et il existe des études scientifiques sur ce sujet. La naturopathie est également une aide non négligeable pour gérer les émotions liées à la maladie et pour adapter l’alimentation au mieux.

 

Pour conclure

La naturopathie n’étant pas une discipline unique, mais un mélange de différentes techniques mélangées à une méthodologie et une vision particulière de la vie, ainsi qu’à des aspects philosophiques, psychologiques, sociologiques… Il est donc difficile d’avoir un avis globalement tranché. 

Certaines notions et certaines pratiques sont totalement scientifiques et supportées par de nombreuses études, d’autres ne le sont pas du tout. 

Est-ce que cela signifie que ça ne marche pas?  

Absolument pas ! Il s’agit juste d’une manière de penser et de voir la vie qui est différente.

Dans la vie, rien n’est universel contrairement à ce que l’humain aimerait du plus profond de son cœur. 

Même les molécules les plus étudiées scientifiquement ne font pas exception. Il y aura toujours des personnes sur lesquelles elles ne marcheront pas ou qui y seront allergiques… 

D’ailleurs je défie qui que ce soit de me dire scientifiquement et universellement si le café est bon ou pas pour la santé. C’est impossible ! En fonction de ce qui est étudié, les résultats des études scientifiques sont différents. Il y a autant de preuves qui démontrent que le café est bon pour la santé que de preuves qui démontrent l’inverse.

Mais si les faits scientifiques sont indispensables à vos yeux, rien ne vous empêche de trouver un naturopathe qui n’emploie que des pratiques scientifiquement prouvées !

Bonjour à tous, moi c’est Elise. Je suis praticienne en naturopathie et je partage avec vous des conseils sur le bien-être au naturel.

Touchée par la maladie de Lyme et ses co-infections, je me suis naturellement tournée vers ce sujet et en ai fait mon thème de prédilection.

Si vous avez des questions ou si vous souhaitez prendre rendez-vous avec moi, n’hésitez pas à me contacter via ma page de contact.


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